However. Furthermore. In fact. First of all. Second of all. To finish. In conclusion. Anyway. In most case.
Arrivée ce 8 novembre dans nos salles de cinéma, une nouvelle production Marvel se démarque avec un surprenant, mais trio de choc aux pouvoirs aussi puissant qu’imprévisibles… J’ai nommé : The Marvels ! Au-delà du casting 100% féminin et représentatif, Kamala Khan, Carole Danvers et Monica Rambeau se forgent leur propre dynamique de groupe (forte et attachante) tout en perpétuant l’esprit du MCU.
The Marvels : De quoi ça parle ?
Vous souvenez-vous de l’intrigue de fin de Captain Marvel ? Des années plus tard, Carole Danvers doit maintenant faire face aux lourdes conséquences de sa victoire contre la civilisation Kree. Leur planète annihilée de toutes ressources, ils sont prêts à tout pour lui retourner sa puissance d’antan.
Lors d’une mission de « routine », Carole Denvers a.k.a Captain marvel se retrouve propulsée au cœur d’un étrange vortex. Parallèlement, sa « nièce » Monica Rambeau, est elle-même en mission dans l’espace pour enquêter sur une anomalie dans un réseau de téléportation en orbite de la terre. Lorsque, sans le savoir, les deux femmes rentrent en contact, leurs pouvoirs ainsi que ceux de Kamala Khan (Miss Marvel) s’entremêlent de façon désastreuse. Désormais, lorsque l’une d’entre elles use de ses pouvoirs, elles échangent automatiquement de place. Pour arrêter la source du problème, le trio improbable doit apprendre à travailler ensemble afin de vaincre la redoutable guerrière Kree, Dar-Ben, qui a entre ses mains un bracelet quantique capable de déstabiliser l’univers.
The Marvels : des personnalités qui se complètent
Introduite peu de temps avant la fin de la phase 3, Carole Danvers est devenue un membre à part entière (ou plutôt une collaboratrice) du groupe très sélect et dévastateur des Avengers. Alors que son apparition se fait de façon (trop) discrète, on nous la présente comme une héroïne superpuissante et solitaire dont l’unique identité est de défendre l’espace. C’est donc quatre ans après sa première apparition dans Captain Marvel (2019) que l’on la retrouve aux près de deux nouvelles acolytes fraîchement présentées au public : Kamala Khan (Miss Marvel, 2023) et Monica Rambeau (Wanda Vision, 2022).
Si Monica et Carole sont déjà censées se connaître depuis Captain Marvel, leur trio avec Kamala (qui est d’ailleurs une fan inconditionnée de cette dernière) n’en est pas moins intéressant. Ici, la personnalité de chacun complète l’autre : Carole Danvers se détache totalement de son identité rigide et montre une facette plus humaine, Monica Rambeau sait se montrer calme, mais railleuse et Kamala Khan reste la jeune fille naïve mais attachante qui complète le groupe. A elles trois, elles forment un trio multi générationnel, drôle et touchant qu’on n’a pas envie de quitter de sitôt… ou qu’on espère revoir très bientôt !
Une production à multiple vocations
The Marvels commence assez rapidement et sans détours. Très vite, on reconnaît déjà la grande méchante et ses motivations, les personnages forts font leur apparition (Carole Danvers, Monica Rambeau, Kamala Khans et bien sûre le seul et l’Unique : Nick Fury) et le nerf même de l’intrigue est d’ores et déjà établi. Très vite alors, le trio est embarqué dans une course poursuite remplie d’actions et d’humours à travers la galaxie et doit apprendre à exploiter la faille qui lie leurs pouvoirs respectifs. Mais rien ne s’avère simple lorsque chacune veut faire à sa tête et que les blessures et erreurs du passé menacent de perturber leurs efforts. Vous le découvrirez assez vite : rien n’est totalement blanc, ni entièrement noir, et c’est tant mieux comme ça !
L’enjeu absolu de cette production a été d’introduire au public un nouveau trio à l’échiquier de la phase 4, déjà très appréhendée par le public. Ainsi, deux semaines après sa sortie dans les salles obscures, les résultats du film au box office témoignent du triste intérêt porté par le public : The Marvels cumule seulement 552.852 entrées comparé à The hunger games : la ballade du serpent et de l’oiseau chanteur qui cumule après seulement quelques jours, 613.191 entrées. Néanmoins, « les merveilleuses » réussissent tout de même à se forger leur propre identité et à cocher toutes les cases nécessaires : un trio avec une très belle dynamique et un casting représentatif et diverse et qui, finalement, ne nous dévie pas du point principal, l’histoire.
Ma conclusion
Plus court que les autres films de la phase 4 (seulement 1h40min !), The Marvels ne traîne pas en longueur, mais réussira tout de même à capter votre attention le temps d’une séance popcorn. La fin est assez intrigante pour ouvrir de nouvelles fenêtres à la fois sur ce fameux multivers qu’on nous vend depuis le début, mais également sur d’autres productions tant attendues – Mais je ne vous spoil pas !
Quelques questions-réponses :
Bien sûr, Captain Marvel, Wanda Vision, Mrs.Marvel ou encore le dernier Avengers sont un gros plus pour comprendre toutes les références du film, mais vous pouvez très bien vous rendre en cinéma et vous contenter des scènes flashbacks. Voici un petit résumé de tout ce qu’il faut savoir/ ou se rappeler avant de regarder the Marvels ici.
Techniquement, il n’y a qu’une seule scène après le premier générique de fin, mais il y a bel et bien deux scènes qui valent la peine de patienter quelques secondes de plus, une en guise de fin et une autre à la fin du premier générique de fin.
Le mieux serait bien sûr de se faire son propre avis, mais The Marvels ne mérite certainement pas la haine qui lui est déversée. La représentation féminine, religieuse ou encore culturelle ne dévie pas le spectateur de l’histoire. Tout en étant important, ils ne sont pas vraiment les points sur lequel il faut absolument se focaliser. Ici, les préjudices sociaux ne sont pas dénoncés, mais la diversité normalisée.
However. Furthermore. In fact. First of all. Second of all. To finish. In conclusion. Anyway. In most case.
Et vous, quel est votre avis ?
However. Furthermore. In fact. First of all. Second of all. To finish. In conclusion. Anyway. In most case. Indeed.
Sources :
- Chiffres du box office : Allociné
- Première image de l’article : The Ringer
However. Furthermore. In fact. First of all. Second of all. To finish. In conclusion. Anyway. In most case. In